Le pouvoir politique qui s’instaure en Haïti multiple les preuves de sa violence contre les droits, libertés et vies humaines; les acteurs de la culture que sont les écrivains et journalistes sont soumis à cette oppression. La culture n’est pas séparable de la politique en termes de droits humains, pas plus qu’Haïti n’est séparable de la francophonie, ni le PEN Club français de la liberté d’expression francophone. Nous demandons donc que se diffuse la solidarité internationale et que l’instance compétente, l’Organisation Internationale de la Francophonie, dénonce le régime d’oppression en Haïti.