Le PEN club de France propose une rencontre avec Guy Konopnicki, journaliste, romancier, chroniqueur à Marianne à propos de son livre :
Il est toujours interdit d’interdire, publié aux éditions Impact.
Ce livre s’élève contre la condamnation médiatique qui a frappé Roman Polanski ou Woody Allen dont des militantes « féministes » ont voulu interdire les films. Pourquoi une telle violence contre ces deux créateurs alors que Tarik Ramadan, visé par de nombreuses plaintes de femmes, est épargné par les mêmes médias ?
Que signifie la campagne menée aujourd’hui contre le racisme d’Autant en emporte le vent ? On veut changer le titre des dix petits nègres d’Agatha Christie et condamner Margaret Mitchell alors que c’est le sud des Etats-Unis qui était raciste et qui l’est encore. A la Sorbonne, les Suppliantes d’Eschyle fut attaquée parce que des acteurs blancs portaient des masques noirs pour délit de « Black Faces ».
Peut on invalider des œuvres au nom de la morale supposée de leur auteur ?
Faut il interdire le Caravage et surtout ses tableaux du fait de la vie dissolue du peintre ?
Noter que la rencontre est bien au local du Pen Club français : 99, rue Olivier de Serres 75015 Paris (Métro : Porte de Versailles. Tram T3a : Porte de Versailles ou Georges Brassens. Bus : 80, 89).
L’enregistrement de cette rencontre, fichier trop « lourd » pour être téléchargé ici peut être communiqué sur demande à francais.penclub@neuf.fr